L’annonce de la fermeture des magasins Cora jette dans l’incertitude 1800 travailleuses et travailleurs. Après des années de travail acharné pour faire vivre l’enseigne, ils et elles se retrouvent aujourd’hui confronté·es à une décision lourde de conséquences.
L'accord gouvernemental De Wever-Bouchez promet aux travailleurs plus de sécurité et un meilleur équilibre entre travail et vie privée. Mais en y regardant de plus près, ces belles paroles ne sont qu’un mirage. De Wever et Bouchez veulent que tout le monde travaille de manière plus flexible, plus longtemps et de façon plus irrégulière.
C’est avec stupéfaction que les trois syndicats apprennent que le gouvernement De Wever a décidé de supprimer l'enveloppe bien-être. Pour des centaines de milliers de personnes vivant avec les pensions et les allocations les plus basses – souvent proches ou en dessous du seuil de pauvreté –, cette aide était essentielle.
La FGTB analyse en profondeur la déclaration du formateur avant de réagir en détails.
Indexation, chômage temporaire, tarifs d’électricité plus élevés, extension du congé de parentalité d’accueil et d’adoption, suppléments chez le médecin…Qu'est-ce qui change en 2025 en matière de santé, de politique sociale et de droits sociaux ?
Vous aussi, vous avez droit à une prime de fin d’année comme vos collègues sous contrat fixe. Mais pour cela vous devez remplir un certain nombre de conditions.
Les fêtes approchent, mais pour le monde du travail, les "cadeaux" que nous réserve le futur gouvernement sont loin d’être réjouissants. Rejoignez-nous pour réclamer la justice sociale, la solidarité, et des politiques qui remettent l’humain au centre des débats. Ensemble, défendons nos droits et préparons un avenir meilleur pour toutes et tous !
Les trois syndicats soumettent leur avis au gouvernement fédéral en affaires courantes. Il doit décider dès maintenant de dépenser et répartir l'enveloppe Bien-Être 2025-2026.
La FGTB a pris le temps d’analyser la note de l’ex-formateur De Wever avant de formuler une première réaction. Les négociateurs sont actuellement « en pause », mais la probabilité de revoir les mêmes partis revenir à la table est grande.