Ce 1er avril, le salaire minimum interprofessionnel augmente de 80,95€ pour atteindre désormais le montant de 1806,16€ brut/mois. Cette augmentation constitue une première étape essentielle dans notre lutte pour un salaire minimum de 14€/h, soit 2.300€ brut/mois.

Chaque année, la FGTB organise une journée d’action de lutte contre le dumping social. Le lundi 28 mars prochain, nous focalisons notre action sur l’importance de la responsabilité solidaire au sein de la chaîne de sous-traitance. Cette journée s’articulera autour d’actions de terrain, de sensibilisation et sur une interpellation des responsables politiques. Mais pour bien comprendre l’importance de la lutte contre le dumping social et notre choix de nous concentrer sur la responsabilité solidaire des entreprises, il nous semble indispensable de revenir sur quelques fondamentaux.

22,7%. C’est l’écart qui persiste entre les salaires des femmes et celui des hommes. Cet écart salarial est calculé pour l’ensemble des travailleurs et travailleuses, quels que soient leur métier, leur secteur, leur type de contrat ou leur fonction. La FGTB dénoncera cette injustice lors de la Journée de l’écart salarial, qui a lieu cette année le 24 mars.

La situation de guerre en Ukraine se détériore chaque jour. La Confédération européenne des syndicats (CES) et la Confédération syndicale internationale (CSI) sont en contact permanent avec les camarades des syndicats ukrainiens pour assurer la solidarité et le soutien. C'est pourquoi la Confédération syndicale internationale, dont la FGTB et d'autres syndicats belges sont membres, organise une journée mondiale de solidarité le 15 mars. Cette action se déroulera Place Schumann à Bruxelles de 14h à 16h. Un appel de fonds urgent destiné à soutenir la population ukrainienne a également été mis sur pied.

Le tarif social est une mesure destinée à aider certains ménages à payer leur facture d’électricité et/ou de gaz naturel.

6 mois de prison avec sursis pour avoir participé à un piquet de grève devant la prison de Lantin (Liège)… Cette première phrase rappelle malheureusement de récents communiqués. L’action syndicale est bel et bien criminalisée, à répétition. Et à travers elle, les actions de contestation sociale et les contre-pouvoirs.

La FGTB condamne l’attaque militaire russe en Ukraine et demande une cessation immédiate des hostilités. Elle exprime sa solidarité avec le peuple et les travailleurs ukrainiens ainsi qu’avec les organisations syndicales de ce pays.

Sur base des informations disponibles, la FGTB a décodé le contenu de l’accord intervenu au sein du gouvernement Vivaldi sur la réforme du marché du travail. Ce qu'on y trouve ? Des avancées timides... payées très cher par des reculs majeurs. Côté patronal, ils sont plutôt contents. Pas étonnant puisque ce « deal » répond à leurs revendications. Mais cette réforme répond-elle aux préoccupations et aux angoisses du monde du travail  ? Nous ne le pensons pas.

La Confédération syndicale internationale, dont la FGTB est membre, réclame au moyen d’une pétition la mise à jour de la base de données des entreprises exerçant dans les colonies israéliennes et ayant « directement et indirectement, permis la construction et la croissance des colonies de peuplement, les ont facilitées et en ont profité ».