La FGTB organise, en front commun syndical, une grève nationale interprofessionnelle le 26 novembre. Ce sera le point culminant d’une vague qui déferlera à partir du 23 novembre, journée de mobilisation contre les violences de genre, et qui se poursuivra par trois journée de grève « en crescendo ».

Dans la foulée de la manifestation historique du 14 octobre, les syndicats passent à la vitesse supérieure. Ensemble, ils intensifient la résistance face aux mesures du gouvernement Arizona. Cette grève nationale interprofessionnelle marquera la conclusion de quatre journées d’action, qui monteront en puissance jusqu’au 26/11.

• 23/11: Journée d’action contre les violence faites aux femmes
• 24/11: Grève dans les transports publics
• 25/11: Grève dans les services publics
• 26/11: Grève nationale interprofessionnelle

Le soutien de la population au mouvement est palpable. Il y a deux semaines, quelque 140 000 personnes se sont rassemblées à Bruxelles pour exprimer leur colère face à la casse sociale de ce gouvernement. En retour ? Silence total de la part du Premier ministre De Wever. Un mépris et un manque de respect qui ne passent pas. Pire encore, les négociations budgétaires actuelles voient refleurir une série d’idées toujours plus antisociales.

Sur le désert budgétaire aride de l’Arizona s’abat aujourd’hui une vague historique — celle d’un mouvement qui réclame une société solidaire, équitable et juste. Sans saut d’index, avec des pensions décentes et une répartition équitable des efforts.

Rendez-vous le 26 novembre à Bruxelles ! 

Les informations pratiques suivront.