
Réunion du G10: Les employeurs rejettent toutes les avancées sur l’augmentation du pouvoir d’achat
Les employeurs rejettent jusqu’à présent toutes les propositions d’augmentation des salaires, sous quelque forme que ce soit.
Les employeurs rejettent jusqu’à présent toutes les propositions d’augmentation des salaires, sous quelque forme que ce soit.
C’est avec stupéfaction que les trois syndicats apprennent que le gouvernement De Wever a décidé de supprimer l'enveloppe bien-être. Pour des centaines de milliers de personnes vivant avec les pensions et les allocations les plus basses – souvent proches ou en dessous du seuil de pauvreté –, cette aide était essentielle.
En vertu de la loi sur la norme salariale, le secrétariat du Conseil central de l’Economie (CCE) fixe une marge salariale de 0% pour 2025-2026. Après quatre ans de gel salarial, la loi sur la norme salariale empêche les travailleurs et travailleuses de récolter les fruits de la croissance économique pour deux années supplémentaires.
La FGTB analyse en profondeur la déclaration du formateur avant de réagir en détails.
L’analyse des résultats définitifs des élections sociales 2024 confirme que la FGTB a réalisé sa plus belle progression en 20 ans. Dans plus de 7.000 entreprises à travers le pays, les travailleurs et travailleuses ont davantage voté pour la FGTB, ce qui s'est traduit par un plus grand nombre de délégués dans les organes de consultation.
Les trois syndicats soumettent leur avis au gouvernement fédéral en affaires courantes. Il doit décider dès maintenant de dépenser et répartir l'enveloppe Bien-Être 2025-2026.
Lors d'un conseil d'entreprise extraordinaire, la direction annonçait que plus de 1 100 personnes perdraient leur emploi, dont plus de 800 cette année. Plus de détails sur les plans de restructuration seront connus à la fin du mois.
La loi de 96 (loi sur la norme salariale) se révèle une fois de plus dépassée. Il est urgent de la démanteler pour que les syndicats retrouvent la liberté de négocier de vraies augmentations de salaires.
L’arrêté royal de 1973 sur les informations économiques et financières à communiquer dans les conseils d'entreprise a 50 ans : une actualisation s’impose !