Presse

21/02/2024 Droits syndicaux

Réforme du code pénal : Action « Protect the protest » au Parlement fédéral

En cause : un article qui réprime l’ «atteinte méchante à l’autorité de l’Etat » et qui menace de restreindre le droit de manifester. Par cette action, ils et elles ont montré aux parlementaires leur incompréhension face à l’adoption d’une législation supplémentaire permettant de criminaliser plus facilement toute protestation légitime.

13/02/2024 Droits syndicaux

Atteinte méchante à l'autorité de l'Etat : une menace pour le droit de protester

Plusieurs organisations syndicales, de défense des droits humains, environnementales et de la société civile belges déplorent vivement l’approbation, ce mardi 23 janvier, par la Commission Justice de la Chambre des représentants de la nouvelle mouture du Livre II du Code pénal. Celui-ci contient une nouvelle disposition visant à réprimer les atteintes méchantes à l’autorité de l’État et les organisations appellent les parlementaires à voter contre l’introduction de cette infraction dans le Code pénal.

12/10/2023 Droits syndicaux

Projet de loi Van Quickenborne : Le Conseil d’État retoque les amendements apportés par le gouvernement

Liberticide il était, liberticide, il demeure. Et ce, pour tous les manifestants et toutes les manifestantes. Le texte du projet de loi Van Quickenborne a été examiné par le Conseil d’Etat une deuxième fois. Ce dernier nous donne raison en se montrant très critique sur les amendements introduits: tant sur le nombre de 100 manifestant·e·s proposé comme seuil minimal que sur la vision restrictive du droit de grève. Une fois encore, nous demandons donc à tous les partis du gouvernement de la Vivaldi de ne pas voter ce texte.

03/10/2023 Droits syndicaux

Projet de loi Van Quickenborne : restriction du droit fondamental de manifester

Dernière ligne droite avant un possible vote du projet de loi Van Quickenborne en séance plénière. Pour rappel, un mouvement rassemblant les syndicats, des ONG des droits humains, des ONG environnementales ainsi que de nombreuses associations, demande le retrait de ce projet de loi. En cause : l’attaque d’un droit fondamental, celui de manifester.