« L’an dernier déjà, la défense du droit d’action collective occupait une place centrale dans nos discours. Aujourd’hui, la situation s’est dégradée. En ce 1er mai, je salue celles et ceux qui ne se résignent pas ! Nous sommes syndicalistes, pas criminels. » Lisez l’intégralité du message du Président de la FGTB.

Suite aux condamnations de syndicalistes à Anvers et à Liège pour « entrave méchante à la circulation » (article 406 du code pénal), la FGTB veut soulever les dangers démocratiques que ces décisions comportent. Si nos moyens d’action sont criminalisés, ce sont nos revendications qui en pâtiront. L’action collective est menacée par cet article 406 du code pénal. Aujourd’hui, c’est l’organisation syndicale qui se trouve dans l’œil du cyclone. Demain, à qui le tour ? Nous ne pouvons en rester là.
Pourquoi le jugement d’Anvers (2019) est un coup dur ? Pourquoi le jugement de Liège (2021) aggrave la situation ? Pourquoi ce sont tous les mouvements sociaux qui sont concernés ? Découvrez ici notre argumentaire.
Découvrez également notre mémento pratique à l'usage des militants, délégués syndicaux et secrétaires durant les jours d’action.
Besoin d'aide dans le cadre d'une action syndicale ? Contactez-nous.
Actualités
Aujourd’hui Delhaize, demain à qui le tour ?
Début mars, Delhaize annonçait sa décision de franchiser 128 magasins intégrés. Au bout de 7 semaines de résistance exemplaire de la part de salariés du groupe, les atteintes aux libertés syndicales se sont multipliées et aggravées.
Global Right Index 2022 // Le respect des droits syndicaux en constante dégradation
Chaque année, la Confédération syndicale internationale (CSI) publie un Indice des droits sociaux, le « Global Rights Index », une référence en matière de droits des travailleurs. Cette 9e édition classe 148 pays en fonction du respect des droits des travailleurs et travailleuses et établit la liste des pays où les violations sont les plus graves.
Pagination
Communiqués de presse
Le 13 avril 2018, le Président de la section régionale de la FGTB d’Anvers et un militant comparaîtront devant le tribunal correctionnel d’Anvers. La FGTB considère ce procès public comme une atteinte au droit de manifester et au droit d’appuyer des revendications syndicales.