Nos actions contre une interdiction judiciaire de manifester ont porté leurs fruits. Le gouvernement fait marche arrière, et c’est grâce à notre action déterminée et collective !
Suite aux condamnations de syndicalistes à Anvers et à Liège pour « entrave méchante à la circulation » (article 406 du code pénal), la FGTB veut soulever les dangers démocratiques que ces décisions comportent. Si nos moyens d’action sont criminalisés, ce sont nos revendications qui en pâtiront. L’action collective est menacée par cet article 406 du code pénal. Aujourd’hui, c’est l’organisation syndicale qui se trouve dans l’œil du cyclone. Demain, à qui le tour ? Nous ne pouvons en rester là.
Pourquoi le jugement d’Anvers (2019) est un coup dur ? Pourquoi le jugement de Liège (2021) aggrave la situation ? Pourquoi ce sont tous les mouvements sociaux qui sont concernés ? Découvrez ici notre argumentaire.
Découvrez également notre mémento pratique à l'usage des militants, délégués syndicaux et secrétaires durant les jours d’action.
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Actualités
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Thierry Bodson à l'occasion du 1er mai : Pourquoi on se bat comme des lions
« L’an dernier déjà, la défense du droit d’action collective occupait une place centrale dans nos discours. Aujourd’hui, la situation s’est dégradée. En ce 1er mai, je salue celles et ceux qui ne se résignent pas ! Nous sommes syndicalistes, pas criminels. » Lisez l’intégralité du message du Président de la FGTB.
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Communiqués de presse
Dernière ligne droite avant un possible vote du projet de loi Van Quickenborne en séance plénière. Pour rappel, un mouvement rassemblant les syndicats, des ONG des droits humains, des ONG environnementales ainsi que de nombreuses associations, demande le retrait de ce projet de loi. En cause : l’attaque d’un droit fondamental, celui de manifester.
Aujourd’hui, syndicats et organisations de la société civile publient conjointement un site web qui invite chaque citoyen, chaque citoyenne à dire à tous les parlementaires « ne votez pas le projet de loi Van Quickenborne ».