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Droits syndicaux // L'action collective menacée

Suite aux condamnations de syndicalistes à Anvers et à Liège pour « entrave méchante à la circulation » (article 406 du code pénal), la FGTB veut soulever les dangers démocratiques que ces décisions comportent. Si nos moyens d’action sont criminalisés, ce sont nos revendications qui en pâtiront. L’action collective est menacée par cet article 406 du code pénal. Aujourd’hui, c’est l’organisation syndicale qui se trouve dans l’œil du cyclone. Demain, à qui le tour ? Nous ne pouvons en rester là.

Pourquoi le jugement d’Anvers (2019) est un coup dur ? Pourquoi le jugement de Liège (2021) aggrave la situation ? Pourquoi ce sont tous les mouvements sociaux qui sont concernés ? Découvrez ici notre argumentaire.

Découvrez également notre mémento pratique à l'usage des militants, délégués syndicaux et secrétaires durant les jours d’action.

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Actualités

25.04.2023

Aujourd’hui Delhaize, demain à qui le tour ?

Début mars, Delhaize annonçait sa décision de franchiser 128 magasins intégrés. Au bout de 7 semaines de résistance exemplaire de la part de salariés du groupe, les atteintes aux libertés syndicales se sont multipliées et aggravées.

30.06.2022

Global Right Index 2022 // Le respect des droits syndicaux en constante dégradation

Chaque année, la Confédération syndicale internationale (CSI) publie un Indice des droits sociaux, le « Global Rights Index », une référence en matière de droits des travailleurs. Cette 9e édition classe 148 pays en fonction du respect des droits des travailleurs et travailleuses et établit la liste des  pays où les violations sont les plus graves.

02.06.2022

Congrès FGTB // Séminaire international

Ce mercredi 1er juin, en marge du Congrès de la FGTB, une journée de séminaire international était organisée par l’IFSI, l’Institut de coopération syndical intern

Communiqués de presse

11.01.2024

Le projet de loi de l’ex-ministre de la Justice V. Van Quickenborne est définitivement abandonné.

12.10.2023

Liberticide il était, liberticide, il demeure. Et ce, pour tous les manifestants et toutes les manifestantes. Le texte du projet de loi Van Quickenborne a été examiné par le Conseil d’Etat une deuxième fois. Ce dernier nous donne raison en se montrant très critique sur les amendements introduits: tant sur le nombre de 100 manifestant·e·s proposé comme seuil minimal que sur la vision restrictive du droit de grève. Une fois encore, nous demandons donc à tous les partis du gouvernement de la Vivaldi de ne pas voter ce texte.