
Projet de loi Van Quickenborne : Le Conseil d’État retoque les amendements apportés par le gouvernement
Liberticide il était, liberticide, il demeure. Et ce, pour tous les manifestants et toutes les manifestantes. Le texte du projet de loi Van Quickenborne a été examiné par le Conseil d’Etat une deuxième fois. Ce dernier nous donne raison en se montrant très critique sur les amendements introduits: tant sur le nombre de 100 manifestant·e·s proposé comme seuil minimal que sur la vision restrictive du droit de grève. Une fois encore, nous demandons donc à tous les partis du gouvernement de la Vivaldi de ne pas voter ce texte.