
Pour une meilleure législation sur l'IVG
L’adoption d’une législation répondant réellement aux besoins des femmes demeure un véritable parcours du combattant.
L’adoption d’une législation répondant réellement aux besoins des femmes demeure un véritable parcours du combattant.
Depuis le 1er octobre, les personnes isolées au chômage et/ou en incapacité depuis plus de 3 mois, ainsi que celles reconnues comme invalides, bénéficient automatiquement du statut de bénéficiaire de l'intervention majorée (BIM).
Nous exhorterons les parlementaires belges nouvellement élu·es à un changement immédiat de la loi, en faveur d’une dépénalisation totale de l’avortement, ainsi que pour la suppression des entraves et des discriminations qui persistent actuellement dans l’accès à ce droit fondamental en Belgique.
Le parcours de réintégration sera davantage mis au service du travailleur. La délégation et le CPPT seront plus impliqués. Ceci afin d’augmenter les chances, pour le travailleur qui souhaite reprendre le travail après une longue période de maladie, de retrouver une fonction adaptée à sa situation, au sein de l’entreprise.
Dans une lettre adressée aux membres du parlement, les trois syndicats appellent à rejeter le projet de loi relatif à la responsabilisation des travailleurs dans le cadre des « trajectoires de retour au travail ».
La liberté des femmes à disposer de leur corps est remise en question aux États-Unis. Pour la FGTB, il s’agit d’un recul gravissime sur les libertés et droits fondamentaux.
Voici deux semaines, à l’unanimité, les interlocuteurs sociaux s’opposaient une fois de plus à tout mécanisme de sanction dans le cadre de la réintégration des malades de longue durée sur le marché de travail. Plusieurs avis ont été émis en ce sens, émanant tant du CNT que du comité de gestion de l’INAMI. Les interlocuteurs sociaux y insistent sur le fait que cette réintégration doit se faire sur base volontaire, avec un accompagnement des personnes malades qui souhaitent reprendre un travail. Ils demandent qu’une approche positive soit adoptée.
Depuis le début de la pandémie, on a dénombré plus de 500.000 décès dus au coronavirus dans l’Union européenne, parmi lesquels figurent des milliers de travailleurs et travailleuses qui l’ont contracté sur le lieu de travail. À ceux-ci, s’ajoutent plus de 100.000 travailleurs décédés en 2020 en Europe d’un accident du travail, d’un cancer professionnel ou d’une autre maladie professionnelle.
La pandémie du coronavirus a obligé les entreprises à recourir massivement au télétravail. Avec ce recours de plus en plus systématique à cette forme de travail à distance se posent plusieurs questions pratiques, dont la question des accidents.